Cultures, publics et territoires et Lieux Fictifs coproduisent avec le concours du ministère de la Justice et des Libertés et du ministère de la Culture et de la Communication, un temps d’échanges, de réflexions et de pratiques, dédié aux actions développées dans le domaine de la création (spectacle vivant, arts plastiques et cinéma) avec les publics placés sous main de justice (majeurs et mineurs).
Comme tous les ans, Culture et Démocratie organise avec le Réseau Art et Prison une rencontre interactive autour des arts en milieu pénitentiaire. Cette fois, les rapports entre « image » et « prison » sont au centre des réflexions. Cet évènement s’adresse aux artistes, opérateurs culturels, personnels pénitentiaires, sociologues, étudiants, à toute personne intéressée par la question de l’image dans et sur la prison.
Tout le monde sait que derrière les murs des prisons on construit des cages pour oiseaux… Mais savez-vous qu’on y fait du théâtre, des ateliers d’écriture, du slam, du rap, des films… Ces films, loin des clichés, nous apprennent beaucoup..
L’IRTS propose dans son festival un riche panorama de la production audiovisuelle du secteur social. Il vise à promouvoir des rencontres et des échanges autour des grandes questions qui agitent ce secteur en constante ébullition.
L’École des Hautes Etudes en Sciences Sociales forme des docteurs dans toutes les disciplines des sciences humaines et sociales (histoire, anthropologie, sociologie, économie, géographie, linguistique, psychologie et sciences du langage, démographie, sciences de la cognition, science politique, philosophie et mathématiques).
Centre de recherche, elle donne une place toute particulière aux aires culturelles et pratique l’interlocution entre les sciences sociales et les autres sciences, les sciences du vivant notamment, et également entre les sciences sociales et les activités de création (littéraire ou artistique).
À l’heure où les prisons se multiplient, se mutinent, où les gardiens sont en grève, où la Belgique exporte ses prisonniers aux Pays-Bas, où les centres fermés croissent, et les délits d’opinions sont requalifiés en menace terroriste, le Nova se penche sur l’une des « cases noires de notre société », selon l’expression de Foucault avec une programmation large et éclectique, intitulée « Trou de mémoire», qui présente des raretés comme Un chant d’amour de Jean Genet (1950), des classiques comme Le trou de Jacques Becker, de nombreux documentaires des quatre coins du monde, et d’autres rencontres.
